La chancellerie des universités de Paris décerne des prix solennels de thèse, allant de 1500 à 10 000 €, toutes disciplines confondues.
Les prix solennels récompensent l’excellence de la valeur universitaire et scientifique d’une thèse de doctorat soutenue au cours de l’année civile précédant l’année d’attribution. Ils s’adressent aux étudiants franciliens en droit et sciences politiques, sciences économiques et de gestion, médecine, sciences, pharmacie, lettres et sciences humaines.
Les 5 docteurs dauphinois récompensés sont :
Ivailo Hartarsky a obtenu le prix Sciences toutes spécialités pour sa thèse « Percolation bootstrap et modèles cinétiquement contraints : universalité en deux dimensions et au delà » réalisée sous la direction de Cristina Toninelli au CEREMADE.
Laurent Meunier a obtenu le prix Sciences toutes spécialités pour sa thèse « Attaques adverses : un point de vue théorique. Éléments de théorie des jeux, transport optimal et systèmes dynamiques » réalisée sous la direction de Jamal Atif au LAMSADE.
Raphaël Olivier, a obtenu le 1er prix Sciences de gestion pour sa thèse « Gouverner par le signal-prix ? Sur la performativité des prix du carbone internes aux entreprises » réalisée sous la direction de N. Berland (DRM) et Anna Creti (LEDa).
Félicien Pagnon a obtenu le prix Lettres et sciences humaines toutes spécialités pour sa thèse « Après la croissance. Controverses autour de la production et de l'usage des indicateurs alternatifs au PIB » réalisée sous la direction de Dominique Méda à l'IRISSO.
Yohan Renard, qui a soutenu sa thèse a obtenu le 1er prix en Sciences économiques pour sa thèse « Améliorer la santé des enfants en Afrique subsaharienne. Trois essais en microéconométrie » réalisée sous la direction de Marta Menéndez and Elodie Djemaï au LEDa.
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